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Hunter Fawkes
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oh cousine, tu danses ?
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Sam 2 Jan - 11:00
Charles Jules Marshall

feat Alice Pagani
âge 22 y.o  // statut et orientation sexuelle Célibataire & hétéro // occupation Babysitter, serveuse, femme de ménage... Tout ce qui ne nécessite pas trop de diplôme // dans la ville depuis Cinq années // groupe Baggy // thème musical Mais je t'aime - Camille Lellouche & Grand corps malade // pourquoi avoir emménagé ici ? Un retour aux sources  //  quelle est la rumeur qu'on entend le plus sur toi ? Elle baise gratuit // as-tu payé ton loyer ? Tout dépend ! //
gars de la street

( Puce ) // S’est toujours fait appeler Charlie, n’appréciant pas spécialement son véritable prénom.

( M ) // N’a eu aucune affection venant de ses parents, n’en a connu qu’auprès de son demi-frère Marion.

( Scars ) //  A été une enfant abandonnée et maltraitée.

( Moquerie ) // N’a jamais aimé l’école à cause des autres enfants qui se moquaient souvent de son allure sale, maigrelette, vintage et délabrée.

( Confiance ) // A un gros manque de confiance en elle amplifié par les échecs successifs de ces dernières années.

( Dollars ) // A utilisé l'intégralité de l'argent que Marion lui avait laissé. Une partie dans la came, une autre pour son régulier.

( Tattoo ) // Aimerait devenir tatoueuse bien qu'elle se soit fait jetée du salon où elle exerçait en tant qu'hôtesse d'accueil parce qu'elle passait plus de temps à essayer d'apprendre le métier qu'à accueillir vraiment les clients.

( Vols ) // Est une voleuse invétérée. La plupart des choses qu'elle possède ont été soit volées, soit données.

( Sexe ) // Offre son corps à n'importe qui, n'importe quand.

( Naïveté ) // Sait que son frère a fait de la prison mais la Puce reste complètement dans le déni par rapport aux raisons pour lesquelles il était enfermé.

pseudo Makexwish // comment tu nous as trouvés ? La lumière au bout du tunnel  clown  // tu nous aimes bien ? Mouais ! Bof // inventé ? scénario ? pré-lien ? Vieux scénario de Caligari aka Marion Marshall.  //
Hunter Fawkes
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Sam 2 Jan - 11:00
full life
with Love
1998◬
Holly appela sa fille Charles et elle était destinée à être une enfant mise de côté comme l'était déjà Marion, son demi-frère. Elle était déjà oubliée quand sa mère fumait alors qu'elle était enceinte, se droguait dès que son ventre s'arrondissait sous le fœtus que la Puce devenait et buvait alors que ses seins grossissaient sous les paumes grasses du dealer qu'était son père. La Puce recevait dès sa naissance tout un tas de traitements pour calmer ses pleurs de bébé en manque. Elle ressemblait à une poupée; était aussi petite qu'on n'aurait pu l'imaginer, ses veines brillaient sous la peau translucide qu'elle avait et ses yeux clairs, comme ceux de son père, étaient bien la seule chose qui ne semblait pas malade chez la petite. Elle reçut moins de lait qu'elle n'aurait dû, moins d'affection qu'elle n'aurait dû aussi et devint petit à petit une chose calme qui disparaissait doucement sous l'inattention qu'on lui procurait. Marion était bien la seule personne qui se préoccupait de ce petit être angoissé et déjà perturbé malgré les quelques mois d'existence seulement qu'on lui avait assigné. Elle se maintenait en vie, gardait la tête hors de l'eau quand on omettait qu'elle devait être nourrie et changée mais restait silencieuse, de toute façon résignée et fatiguée de pleurer sans qu'on ne l'entende.

Elle se rappelait de la douceur, de l'amour et de l'attention que Marion lui donnait. Des histoires qu'il lui racontait alors qu'elle ne parlait pas encore, des chansons qu'il murmurait pour provoquer un semblant de sommeil chez elle et elle n'était bien que dans ses bras à lui quand ses propres parents la rebutaient.


2003◬
Elle avait cinq ans quand elle connut sa première fêlure, la toute première fois où son cœur la fit souffrir le martyr quand il commença à se briser avec une langueur qui n'avait pas encore suffi à la rendre complètement folle. Charles aimait son frère plus que n'importe qui, accrochait ses bras autour de son cou comme si sa seule vie en dépendait et il n'y avait aucune autre personne capable de lui donner l'affection dont elle était maladivement carencée. Il avait vingt ans et elle n'en avait que cinq. Elle avait appris à compter sur ses mains encrées de noir et s'amusait à toucher sa peau qui se couvrait petit à petit des tatouages qu'elle voulait admirer comme on admire une oeuvre d'art. Charlie avait dans les yeux le miroir de l'âme et son âme était faite du seul rire de son frère, existait seulement à travers lui et les gestes d’affection qu’il lui procurait.

Sur ses épaules traînait un vieux pyjama presque trop petit pour elle, tâché d'une substance dont elle s'était nourrie bien des jours auparavant et dont les manches s'étaient déchirées à force de tirer anxieusement dessus. Il n'y avait pas de sapin, pas de guirlandes lumineuses et encore moins de cadeaux en ce jour de Noël. Le mobil-home était silencieux mais percèrent entre ce silence les cris gras d'Holly qui s'engouffrèrent dans un oreiller, certainement persuadée que la petite n'entendrait pas. Seulement, ces cris, la petite les connaissait et elle n’en était plus effrayée tant elle s'en était accoutumée, habituée aux scènes obscènes de ses propres parents, dépourvus de pudeur.
Occupée à triturer une peluche aussi sale et vieille qu'elle, Charlie s'était finalement relevée quand la porte s'ouvrit sur Marion et ses jambes nues la portèrent rapidement jusqu'à lui, nouant ses bras malingres autour de son corps, réclamant instinctivement une étreinte qui était censée lui donner l’impression d’exister. Cette dernière fut rapide et bien moins ressourçante que la petite n'aurait voulu et elle finit par s'écarter seulement quand il le lui demanda, les yeux noirs, l'esprit visiblement occupé, le corps manipulé par l’unique envie de destruction qui suivi.

Elle n'avait eu le temps de ne rien voir, uniquement d'obéir aux ordres de sa seule raison de vivre et ses mains cachèrent  ses oreilles à l'entente des hurlements, les yeux noyés de larmes et le visage enfouit dans ses genoux colorés de bleu hématomes. Elle n'avait que cinq ans mais avait compris déjà bien avant qu'un coup de feu était une balle qui pouvait donner la mort et ses yeux océans ne se relevèrent sur Marion que lorsqu'elle le sentit assez proche pour se jeter sur lui. Il la ramena dans un lieu qui lui était inconnu et ce n'était pas compliqué puisqu'elle ne connaissait que le mobil-home. Charlie mangea à sa faim pour la première fois depuis ce qui lui semblait être un siècle; Se sentit propre et avait l’impression qu’elle pouvait à nouveau exister entre les phalanges et les os tatoués qui la tenaient contre la poitrine dotée du cœur qui lui  avait manqué. La Puce n'avait que cinq ans mais savait que ce moment ne serait qu'un instant de répit dans sa vie bancale et avait demandé à son frère de sa voix d'enfant si la police allait venir le chercher, persuadée que son père était mort. La réponse fut bien ambiguë et les larmes reprirent instantanément quand on frappa à la porte.

2005◬
Son père n'était pas mort de la balle qui avait résonné ce Noël là. Il était bel et bien vivant et avait toujours dans la bouche des insultes répétitives à l'encontre de Marion, essayant tant bien que mal de pourrir le cerveau de la Puce pour qu'elle cesse définitivement d’éprouver l’envie de le revoir. Et pourtant, elle n'avait que sept ans qu'elle savait pertinemment qui appartenait aux gentils et qui appartenait aux méchants. Elle n'avait pas eu besoin de réfléchir longtemps avant d'oublier les sornettes de son géniteur, gardant instinctivement au fond d'elle l'envie et le besoin de revoir sa seule raison de vivre, alimentant chaque jour de sa vie l'espoir de le retrouver en gardant en mémoire les jours heureux qu’il lui avait permis de vivre.

Charlie devenait teigneuse. Donnant petit à petit une forme à sa rage en insultant et en frappant parfois ses géniteurs, de toute façon bien souvent plus préoccupés à baiser qu'à parfaire son éducation. Après chaque remontrances et bien trop régulièrement, elle se retrouvait à la rue, dormait parfois chez des inconnus qui prennaient pitié de la gosse qu'elle était et s'installait également quelques fois sous des ponts le temps que le soleil revienne avant de rentrer chez elle, fatiguée et cernée. Pourtant, ni sa génitrice, ni l’homme qui lui servait de père ne se préoccupaient de ça, ni des os qui saillaient sous sa peau translucide, ni de son esprit torturé qui poussait Charles à griffer ses bras si fort que les cicatrices y poussaient autant que les tatouages sur ceux de son frère dans ses souvenirs.

Elle était une enfant délaissée, carencée en amour, carencée en affection si profondément et si puissamment qu'elle se raccrochait à n'importe quelle marque d'attention. C'est ainsi qu'elle se retrouva à sept ans amoureuse des adultes qui avaient le malheur de lui offrir la moindre marque de gentillesse essayant lamentablement d'expliquer à la gamine qu'ils ne pouvaient pas la recueillir, ni continuer à lui donner des choses que ses propres parents étaient censés lui donner eux-mêmes.

Charlie continuait pourtant d’essayer d’avoir une vie normale, allait à l'école, survivait entourée de gamins pourris gâtés qui se moquaient souvent d'elle sans qu'elle ne s'en aperçoive, naïve comme tout. Elle n'apprenait pas tant, se laissait plutôt distraire par son ventre gargouillant de la nourriture manquante et essayait désespérément de se faire des amis quand personne ne voulait d'elle nulle part.

2007◬
Holly était ingrate, virulente et sévère en plus d'être négligente envers sa propre fille. Elle avait un jour prétexté avoir été volée par Charles et rien n'était plus précieux pour cette génitrice que l'argent qui lui servait à se payer sa came. Pourtant, la petite qui n'avait pas tant de qualités, d'un certain point de vue, avait au moins le mérite d'être honnête et jamais elle n'aurait osé toucher aux billets si précieux de la femme qui lui servait de mère. La dispute avait été terrible. Le mobil-home avait tremblé sous les cris hystériques de Holly et la Puce avait finit le nez par terre, les joues rougies des claques qu'on lui avait assené et la gamine avait finalement décidé de quitter la résidence familiale, à nouveau.
Elle avait réuni quelques affaires dans un sac à dos dont les anses menaçaient de se déchirer sur ses épaules à chacun de ses pas et ces derniers finirent dans les rues crades de Chiago. Elle traversa plusieurs quartiers avant d'atterrir chez son frère, avait manqué plus d'une fois de tomber de fatigue, la faim lui matérialisant un tourbillon à la place de ses pensées. Et son cœur manqua dix battements à la minute quand la porte s’était ouverte sur un squelette humain. La gosse avait pris peur, ses jambes se portèrent à son cou pour faire demi-tour mais avait été rapidement rattrapée par Marion caché derrière ce qu'elle croyait être un maquillage. Il fallut plusieurs minutes d'acclimatation et de paroles doucereuses pour que Charlie réalise qu'il s'agissait bien là de son frère et qu'elle n'avait pas besoin d'avoir peur. Silencieusement, la Puce se mit à recréer à l'infini les formes du crâne qui chevauchaient celui appartenant à son frère, parcourant de ses doigts cette peau devenue noire sous les aiguilles des tatoueurs. Elle ne trouvait pas Marion particulièrement beau, se sentait même effrayée face à ce masque dont il s’était couvert mais la puce l’aimait du plus profond de son cœur et assimilait très bien les explications et les raisons qui l’avaient poussé à faire ce changement.

Elle n'avait que neuf ans mais comprenait déjà les préoccupations de Marion, savait qu'elle ne devait pas ébruiter leur relation et chaque jour elle retraversait les quartiers pour le rejoindre, dès que ses parents étaient assez stones pour ne plus se rendre compte de son absence. Chaque soir se ressemblaient; les nuits de la gosse commençaient dans le lit de la chambre que Marion lui avait préparée et se finissaient toujours entre les os irréels de son frère quand ses cauchemars lui donnaient l'impression de mourir subitement.

Leurs géniteurs ne s'étaient jamais aperçu de la supercherie et Charlie en était fière, coulait quelques jours heureux auprès de Marion tout en grandissant un peu plus normalement que ce qu'elle n'aurait pu avec Holly et son dealer. Les cicatrices avaient arrêtés de pousser sur ses bras mais pas les tatouages de Marion, ceux qui subjuguaient à chaque fois la gamine, devenue finalement admiratrice du corps qu’il était en train de se dessiner.

2008◬
Viol. C’était ce qu’on mettait sur le dos de son frère et Charlie, malgré ses dix ans, savait pertinemment ce que ce mot aux effets abrasifs signifiait sans pour autant se rendre compte des effets que les gestes, par contre, imposaient. La Puce n’avait pas retenu pourquoi il avait été mis en cellule mais plutôt ce que cela impliquait. Et cela impliquait le manque que son absence allait de nouveau faire naître en elle et la tristesse dont elle avait souffert toute sa petite vie.
Le coeur à nouveau déchiré, la petite couchait sur du papier souvent rose et souvent volé, des mots de petite fille aimante. Elle croyait qu’en offrant un peu de son positivisme à son frère, cela permettrait à ce dernier d’écoper d’une faveur et qu’elle aurait la chance de le revoir bien plus tôt que les neuf ans qui le ferait pourrir avant l’heure.

Les semaines passaient et Charles perdait petit à petit l’espoir de revoir Marion plus tôt que prévu mais les lettres ne diminuaient pas, la Puce continuant d’abreuver le prisonnier de ses mots d’amour qui ne recevaient jamais de réponse. Stew lui donnait un peu de ses nouvelles, tous les deux mois environ et lui avait bien précisé que les relations épistolaires étaient proscrites en prison, expliquant cette absence de retour.

La puce grandissait tant bien que mal, entourée de la violence et de la maltraitance que ses parents lui conféraient. Elle priait chaque jour pour que Marion revienne sans jamais n’avoir de signe de sa part, s’octroyant le droit de penser que c’était comme s’il était mort et cette simple idée rendait Charlie complètement malade.

Sans n’avoir jamais été diagnostiquée, la Puce était devenue dépressive, restait cloîtrée dans sa chambre, clouée sous la couette devenue trop petite qu’elle avait toujours eue et les idées suicidaires qui la tourmentaient, la poussaient à s’écorcher les bras à sang comme elle le faisait déjà quelques temps avant. Son corps laissait apparaître ses os, s’apparentant à Marion, la noirceur en moins. Elle était chétive, affaiblie et assez fragile pour qu’on puisse s’imaginer qu’une simple poussée du doigt la ferait tomber et se briser en mille morceaux comme la plus fine des porcelaines.

Ses parents ne la voyaient pas, passaient à côté d’elle sans jamais lui adresser la parole et sa présence pouvait se confondre avec celle d’un simple pot de fleur qu’on aurait déposé là. Pourtant, elle n’avait pas céder à l’envie de se foutre en l’air ou n’en avait simplement pas eu le courage et pendant quelques années, elle avait trouvé en une voisine très âgée la présence réconfortante dont Marion la laissait dépourvue. Trois ans passèrent. Trois ans durant lesquelles Charlie oscillait entre son mobile-home et celui de la vieille dame qui lui confectionnait souvent des gâteaux aux ingrédients très peu chers et cette dernière avait aussi la gentillesse de corriger les lettres que la petite écrivait toujours à son frère.
Elle finit par s’en aller aussi, l’âme au ciel et le corps six pieds sous terre. Charlie en avait été effondrée mais la libération de Marion quelques temps plus tard lui fit rapidement oublier cette perte.

2013◬
Marion avait été libéré. La Puce le savait et elle s’était ruée chez lui le même soir en trouvant  porte close, personne pour lui ouvrir. Elle en avait été déçue et avait décidé d’attendre un signe de la part de son frère avant de retraverser les quartiers comme elle le faisait chaque fois.
La petite avait eu le malheur de se confesser auprès de sa propre mère, avait parlé du souhait qu’elle avait de revoir Marion et son père, qui avait entendu la discussion, avait péter les plombs, s’était jeté sur elle pour lui asséner claques et coups qui l’assommèrent pratiquement, laissant la petite échouée sur le sol, quelques parties de son visage ouvertes et sanguinolentes. Personne n’avait défendu Charlie, ni sa mère, ni les voisins, trop habitués aux cris venant de ce vieux mobile-home.
Elle se releva un peu plus tard, larmoyante, douloureuse et détruite. Le sms envoyé à son frère était rapide et concis. ]J’en peux plus. Viens me chercher stp.] La confiance qui émanait de Charlie envers son frère était si grande qu’elle savait pertinemment qu’elle n’avait pas besoin d’écrire davantage pour qu’il comprenne et il avait déboulé un quart d’heure plus tard, suant l’adrénaline, les sourcils froncés et les poings serrés. Il n’avait pas pris le temps d’examiner correctement la gamine qui continuait de pleurer dans son coin, avait simplement suggérer à cette dernière d’aller s’abriter dans la voiture. Elle le fit après avoir hurlé qu’il ne devait pas, qu’il allait encore s'empêtrer dans des ennuis pharamineux sans jamais obtenir de considération de la part de Marion, simplement dirigé par l’envie meurtrière qui faisait bouillir son sang.

Ils partirent rapidement et l’habitacle était resté silencieux. Charlie observa seulement le paysage déformé par les larmes qui se déroulait sous ses yeux et avait fini entre les mains d’un inconnu, son frère parti, la laissant en peine avec elle même et cet homme qu’elle voyait pour la première fois.

Contre son gré, elle se retrouva en Pennsylvanie avec cet homme un peu bizarre mais gentil et sa femme qui l’était tout autant. Elle était correctement nourrie, retrouvait petit à petit les formes qu’une fille de son âge est censée avoir et ses os saillants se recouvraient doucement.

Charlie n’adressait plus aucun mot à son frère, était nourrie par la rancoeur qu’il avait fait naître en elle. La Puce se posait des milliards de questions. Pourquoi n’était-il pas venu avec elle ? Pourquoi l’avait-il lâchement abandonnée comme il l’avait fait ? Persuadée que Marion voulait l’éloigner de sa vie pour être enfin tranquille, Charlie essayait, en donnant son corps à qui le voulait, d’oublier le mal qu’il lui avait fait en la laissant à nouveau seule.

2018◬
Elle prit le mauvais chemin. Diplômée difficilement du secondaire, elle avait tenté des études d’informatique avant d’abandonner quelques mois plus tard pour finir dans un bar en tant que serveuse, préférant troquer ses cahiers d’école par les pourboires qui lui permettaient d’acheter de temps à autres la poudreuse aux pouvoirs magiques.
Les pouvoirs magiques étaient ceux qui empêchaient Charlie de penser à son frère et à toutes ces choses qui avaient fait de sa vie les lambeaux qu’elle était devenue.

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Sam 2 Jan - 11:15
La belle est là ! heureuse de te retrouver ! bienvenue et bon courage pour ta fichette ! Si tu as des questions, n'hésite pas ♥
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Sam 2 Jan - 11:18
une mignonne tête connue I am afraid to let you see the real me - Charlie  3984004536
bienvenue
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Sam 2 Jan - 11:20
Coucou toi et bienvenue par ici I am afraid to let you see the real me - Charlie  3517364377
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Sam 2 Jan - 12:19
Ouiiiiiiiii
La plus belle !!!
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Sam 2 Jan - 16:55
I am afraid to let you see the real me - Charlie  3984004536 I am afraid to let you see the real me - Charlie  3984004536 I am afraid to let you see the real me - Charlie  3984004536 I am afraid to let you see the real me - Charlie  3984004536 I am afraid to let you see the real me - Charlie  3984004536 I am afraid to let you see the real me - Charlie  3984004536 I am afraid to let you see the real me - Charlie  3984004536
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Sam 2 Jan - 17:51
Merciiii I am afraid to let you see the real me - Charlie  3984004536
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Dim 3 Jan - 10:59
Bienvenue au Square !
Trop contente de revoir Puce ! A très vite en rp I am afraid to let you see the real me - Charlie  2572766349

Ca y est, tu fais enfin partie des nôtres ! Avant toute chose vérifie que ton personnage est bien inscrit dans les différents répertoires ; une erreur est très vite arrivée. Une fois cela fait, tu peux aller poster ta fiche de liens, ton téléphone et ton instagram pour qu'on soit au courant de tout ! C'est tout bon, tu te lances en rp ? Alors n'hésite pas à vérifier le répertoire des rps libres, comme ça tu t'intègres tout de suite ! Et si t'aimes le risque, pense à ta boîte aux lettres ♥ A bientôt en jeu, ou sur la CB    
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