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oh, few have seen it, but everybody talks ((brandy&august)) Empty oh, few have seen it, but everybody talks ((brandy&august))

Mar 9 Fév - 19:15

oh, few have seen it, but everybody talks

 









honnêtement, monter les escaliers pour le toit aurait pu être suffisant pour lui couper toute envie de le faire, et il s'était ravisé juste avant de finalement accepter de s'y mettre, tache bien plus simple depuis un an. il fait froid cependant, et c'est mieux d'attendre tout en haut de la cage d'escalier, en attendant. en priant pour ne pas avoir l'air trop imbécile, et la voir arriver, aussi, tant qu'à faire. pour elle qu'il est là, clairement, sinon il aurait bien des choses à réaliser, mais en ce moment rien ne paraît plus urgent que de la rencontrer. dernière fois sur le toit, aucune idée de son logement, probablement tout en bas, comme beaucoup de gens qui viennent de migrer, qu'il réfléchit rapidement. peu de choses connues à son sujet, finalement. qu'elle est d'europe de l'est, roumaine plus spécifiquement, que le russe est parfaitement inutile, tant pis pour ses connaissances absolument mineures en le sujet, certain qu'il aurait du prendre mandarin en vrai, qu'elle s'appelle brandy, même pas assuré qu'il s'agisse de son vrai prénom en vérité. beaucoup d'inconnues pour une gamine des h, assez classique, une façon de les contrôler que beaucoup dans l'immeuble reconnaissent maintenant.

puis elle arrive, finalement. alors qu'il se remet debout, les mains dans les poches qui attrapent le paquet de cigarettes précédemment volé. elle a les cheveux blonds détachés, le regard doux mais vif, un peu l'air effrayé. lui aussi serait impressionné dans un pays étranger. tiens, c'est pour toi, difficile de ne pas avoir l'air bête quand il lui donne, tout droit. j'ai vu que c'était celles que tu fumais, la dernière fois. t'en fais pas je les ai pas achetées, qu'il tente de la rassurer, quand il se rend compte que ce serait vraiment bizarre que ce soit le cas. je peux pas les ramener chez moi, ma mère me pendrait par les pieds, donc prends le, il aura pour toi plus d'intérêt. pas sûr de tout ce qu'elle peut comprendre, sur son regard, mais il préfère continuer de parler tout en utilisant des mots relativement simples mais pas enfantins, pour ne pas la prendre pour ce qu'elle n'est pas. rien de plus chiant que d'être considéré comme un enfant, il connaît le sentiment.

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oh, few have seen it, but everybody talks ((brandy&august)) Empty Re: oh, few have seen it, but everybody talks ((brandy&august))

Jeu 11 Fév - 15:19

“oh, few have seen it, but everybody talks. ” & Le toit était un nouvel échappatoire. Le monde un peu moins loin vu d'en haut. Un peu moins claustrophobe qu'enfermée entre des murs aux tons trop mornes, aux lumières trop fausses d'électricité. Il avait fallu bosser relativement fort, faire des yeux vraiment doux, apprendre à tordre ta langue en "please sir" aussi sensuels qu'innocents. Il avait dit oui, mais il attendait, juste en bas, juste à la sortie et ton temps était limité. Dès qu'il faisait noir, tu devais revenir, sinon il montait et te traînais jusqu'à ce qui te servais de maison. Et quand il te traînait parce que t'étais pas gentille, ça faisait mal, c'était pas cool. Tes bras en devenaient tous rouges et quand tes bras étaient rouges, Marion était pas content non plus, même s'il disait que tu l'avais mérité. Alors t'espérais, t'espérais fort fort que le soleil prenne tout son temps pour se coucher. Qu'il soit paresseux même, qu'il prenne un temps fou. Les jambes traînant n'import où, assise n'importe comment à fumer tes dernières cigarettes, à laisser le doux froid printanier mordre tes doigts et ton ventre découvert sous ta veste, parce que la neige ça t'as jamais fait peur. Le ciel fait son show, tire sur le rose, l'orangé, puis le violet. Le violet t'aimes moins par contre. Parce que c'est pas une jolie couleur à avoir sur la peau. Parce que le violet dans le ciel, c'est toujours le début de la fin. Du bout de ton portable, tu captures le coucher du soleil pour qu'il ne t'échappe pas si jamais ils en venaient à décider que voir le jour mourir, c'était plus un privilège auquel t'avais droit. Vraiment moins cool qu'on avait promis, les États-Unis. À contre-coeur, tu quittes le toit. Un peu plus tôt, avant que ça ne soit trop sombre, juste pour voir, peut-être qu'avec un peu de chances, il ne sera pas là, hein ? Que t'auras un petit moment de plus à toi, à te faire croire que c'est normal, que tu vas t'en sortir, qu'on va toujours, continuer à t'épagner quand tu faisais la mignonne, que ça suffirait.

Du haut de l'escalier de secours, tu remarques ce garçon qui attends plus bas. Tu t'arrêtes nette, pas certaine s'il est dangereux ou pas. Il a pas l'air méchant, sauf qu'ils ont jamais l'air méchant, les méchants. Il a de beaux yeux, tu les vois, perçant même de loin. Tu fais un pas vers lui, puis deux. Et plus tu t'approches plus ses iris sont hypnotisant. Ses lèvres ont l'air tendre, sa peau à l'air douce, mais c'est pas dit qu'il ne pourrait pas te faire du mal, te jeter en bas du toit. Mais t'approches quand même. Tu te dis que si tu cris, ton garde va entendre et venir à ta rescousse hein. Après tout c'est son job, non ? Minimum te garder en vie ? Il parle, le gars. Il te parle ? Pour toi Un paquet de cigarette qu'il te tend et tu t'arrêtes à sa hauteur, fronce les sourcils, hésitant à le prendre. Le deuxième truc qu'il dit, tu comprends rien, c'est trop vite, c'est trop de mots. Peut-être acheté ? Cumpărat  ? Non ? Il a acheté ça pour toi ? Pourquoi il a acheté ça pour toi ? Sans que tu lui donnes d'argent, sans rien ? Personne t'as jamais rien acheté depuis que t'es ici, c'est bizarre. Enfin, peut-être le squelette avec de la bouffe, mais sinon, non. Pas de cadeaux, juste un peu d'argent que tu gagnais durement.  Ça va encore trop vite contre la langue du garçon. Chez-moi. Toi.  Hein ? Il veut que t'ailles chez-lui en échange d'un paquet de cigarette ? T'en connais un qui ne laissera jamais ça faire. Ça coûte plus cher que ça. Méfiante, relevant tes yeux vers les siens, tu questionnes. "Cadeau ? Gratuit ? " L'accent qui casse trop bien l'anglais et ça te fait grandement chier, d'avoir l'air que d'une imbécile quand tu t'exprimes. Et même si c'était un cadeau, si c'était vraiment gratuit, sans attendre rien en retour, il y a quand même une autre question qui persiste. Une qui est facile à formuler même pour un bébé roumain comme toi. "Pourquoi ?" Dernière barrière qui ne demande qu'à sauter. La trop naïve qui même si elle semble montrer les dents, n'attend que le moment où tu pourras accepter parce que tu te sentiras en sécurité. Et tu fumeras chacune de ses cigarettes avec une attention toute particulière puisqu'elles sont un cadeau, une marque d'attention que t'apprécie un peu, beaucoup trop.



 
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Jeu 11 Fév - 17:20

oh, few have seen it, but everybody talks

 









elle s'approche finalement, après une hésitation qu'il a pu sentir, august qui prend soin de ne pas trop bouger, se ferait encore plus petit qu'il ne l'est s'il pouvait, mains hors des poches, contre le mur, à attendre sagement qu'elle finisse de le sonder. elle n'aura pas trop le choix que de descendre à un moment, de toute façon, mais autant ne pas la faire se sentir plus contrainte qu'elle ne l'est. de loin elle a des airs de petit ange, en haut de l'escalier. chérubin transi de froid dans un manteau trop fin. elle descend, virevolterait presque, à se demander si la gravité a un impact sur elle réellement, alors que son visage combat l'inquiétude qu'il peut toujours déceler. paquet tendu, espoir qu'elle l'accepte, sinon il le laisserait par terre, par dépit, il le sait. elle a du mal à comprendre, et ça dépasse la simple traduction, il s'en doute. kip se plaint régulièrement du prix qu'elles ont, lui en dort en attendant, pas trop concerné. ça reste trop accessible comme destruction des poumons vu le nombre de personnes sur le toit, mais il comprend, un peu. imagine le soulagement que ça doit être, l'air qu'ils se donnent pendant ce temps, donc ça doit forcément aider. c'est pour toi, qu'il articule plus calmement, en se doutant qu'elle comprenait encore moins qu'il pensait, maintenant. si tu le veux, t'es pas obligée. ce serait tellement utile qu'elle comprenne plus facilement.

il retente de lui donner, approcher ses mains calmement, puis se rend compte qu'il a oublié le plus important. gratuit. je veux rien. je les ai juste trouvées. volées, certainement pas par hasard, mais les mains aventureuses auraient préféré un porte-monnaie, bien qu'il n'avait su trouver le courage de s'y attarder dans le métro après l'école, et que maintenant il n'avait rien à en faire. la revente pourrait se faire, avec un peu de bonne volonté, mais c'était brandy qui lui était directement venue en tête comme idée. difficile d'oublier ses grands yeux et ses tâches de rousseur en ce moment, mais il en guérirait. parce que tu les aimes bien. c'est celles-là que tu prenais avant. mon pote les aime pas. que ça pourrait faire une interaction qu'il lui volerait, aussi, sans avoir quelque chose d'intéressant à lui raconter. tu allais où?

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oh, few have seen it, but everybody talks ((brandy&august)) Empty Re: oh, few have seen it, but everybody talks ((brandy&august))

Ven 12 Fév - 17:34

“oh, few have seen it, but everybody talks. ” & Les billes azures qui cherchent le danger dans ses traits, ne trouve que douceur, mais s'en méfie quand même. Pour toi. Toi qui cherches un piège, derrière sa main ou sous sa ceinture. Peur de dire oui et de se retrouver coincée entre un mur et son corps à lui. Veux, obligée. Pas obligée, c'est pas la même chose avec le pas devant. Sauf qu'il rajoute gratuit et que ça, ça change tout. Le sourire revient, il est tendre. Tu retrouves tes ronronnement et cesse d'arquer le dos en te voulant plus menaçante qu'un chaton. Il radote encore en anglais, mais ça te stresse moins, tente de capter des mots ici et là. Aimes qui résonne fort dans ta poitrine. Pote qui fait vibrer tes veines, qui donne envie d'hurler oui, de s'exciter pour trois fois rien. Le qui flotte quelque part dans un océan de pétillement qui est déjà devenu tsunami d'affection et d'excitation de te trouver un ami, qui t'aimes et qui t'offres des cigarettes. Tu lui sautes dessus, les bras qui s'enroulent autours de son cou et les lèvres qui viennent se poser sur sa joue en un baiser. C'est sans doutes un peu trop près des ses lèvres dans ton attaque et dans l'empressement. Une marque de gloss brillant, à la pêche, qui fait reluire sa joue du fantôme de tes lèvres qui traîne encore là. Les doigts fins aux ongles rosés qui viennent finalement chercher le paquet de cigarette en lui offrant un grand sourire. "Merci !" Qui roule trop facilement sur ta langue. Les doigts qui en arrachent déjà le plastique pour le foutre dans tes poches et attraper une cigarette du paquet, lui en tendant une aussi. "Tu veux un ?" La paume en suspend vers lui attendant sa réponse, se souvenant alors qu'il avait posé une question. Où ? Il y avait des mots anglais en W aussi, dans sa question, trop de suite, ça sonnait un peu comme un drapeau, t'avais pas compris. "Désolée. Mon anglais, c'est mauvais." Que tu lui expliques, cassant bien les syllabes de ne pas être habituée à tourner ta langue naturellement dans ses mots-là. Pas les seules nouvelles galipettes que doit apprendre ta langue sur le sol américain. La faute à toutes les conneries qu'ils mettent dans leurs pornos. La faute à la demande, parce que si c'est là, c'est que quelqu'un aime ça. Et t'es presque heureuse de pas être tombée là-dedans aussi. D'être bonne quelques mois en pornos avant d'être balancée à la poubelle parce que le hype est passé. Sauf que ta langue, ça ne te dérangerais pas de la tordre dans les sens que lui veux, parce qu'il a dit que vous étiez amis et que ton ventre en frémit encore.


 
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oh, few have seen it, but everybody talks ((brandy&august)) Empty Re: oh, few have seen it, but everybody talks ((brandy&august))

Ven 12 Fév - 20:13

oh, few have seen it, but everybody talks

 









après un lourd moment d'hésitation qui le fait un peu trépigner ans oser pour autant bouger, difficile de faire attention à tout ce qu'il dégage pendant qu'il se fait attentivement sonder, mais la connaissance de ce qui est important pour elle, surtout sur un sol étranger, elle finit par accepter. probablement que si elle le connaissait plus elle serait moins impressionnée, kip qui a connu august au poids qu'elle devait avoir seulement l'année dernière qui soufflerait pas mal de l'imaginer kidnapper une jeune femme dans son état, mais il allait tellement mieux, et plus rien ne se voyait en ce moment, il le savait. ses joues qui rosissent encore plus que dans le froid, le regard illuminé par l'offrande pas si terrible, maintenant qu'il y réfléchissait, mais la moins suspecte pour le moment. il aurait bien offert n'importe quoi, mais ce n'était certainement pas le moment, alors qu'il la connaissait à peine, et qu'elle n'avait même pas complètement fini de définir s'il représentait un danger. merci, qu'elle dicte enfin, et lui qui souffle finalement, c'est fait. étreinte qu'il n'a pas du tout prévu, baiser moins encore, mais il ne saurait s'en plaindre, c'est que le cadeau avait fonctionné. l'adolescent qui avait imaginé vu ses cours de russe que tous les européens de l'est seraient plus austères, mais rien à faire pour la gosse, qui devait avoir son âge à peu près. et ça lui réchauffe le cœur très rapidement, sourire qu'il peine vraiment à cacher avant de finalement abandonner. le coin de la tête qui s'attarde contre ses cheveux tout doux, alors qu'il la tient par la taille, surtout par peur qu'elle se mette à marcher sur un truc ou à tomber.

non non elles sont pour toi, qu'il retente quand elle lui offre, pas la peine de provoquer sa bonne santé du jour pour si peu, et clairement pas envie de s'empoisonner encore plus facilement qu'il l'était. pour brandy, elle s'en remettrait, au moins les prochains mois. je ne fume pas perso, qu'il complémente, pour au moins expliquer son geste un petit peu. qu'il n'ait pas gardé les clopes jalousement pour lui, que les lui donner avait été la chose la plus logique qu'il avait pu faire sur le coup. tu vas fumer dans les escaliers? qu'il demande, un peu déçu de ne pas avoir pu anticiper le fait. la prochaine fois il lui offrirait la raison de sa quinte de toux de plusieurs heures dehors, sur le toit directement, maintenant il le savait. ton anglais est très bien, qu'il décrète, enfin. il en est sûr, regard certain braqué sur ses opales, tu es à chicago depuis quand? juste histoire de savoir depuis combien de temps elle progressait. malheureusement pas trop d'idées dans son cerveau trop scientifique sur des façons de rendre son propre langage plus adapté.

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oh, few have seen it, but everybody talks ((brandy&august)) Empty Re: oh, few have seen it, but everybody talks ((brandy&august))

Dim 14 Fév - 16:51

“oh, few have seen it, but everybody talks. ” & Tes billes océaniques le détaillent. Qui trouvent ses traits à force de les chercher et les trouvent beaux. Son nez est beau, le bout que t'as envie de mordiller sans raisons. Tout comme ses lèvres auxquelles tu pourrais réserver le même sort. À pas comprendre pourquoi on a envie de croquer les bébés chats ou les beaux garçons. Les continents qui se dessinent dans ses yeux achèvent de te chavirer, additionné au teint doré de sa peau et au dessin du début de ses trapèzes au travers de son manteau. En plus, il y a la teinte rosée qui vient se mélanger au caramel de sa peau. Beau quand il sourit, que son bras s'oublie derrière ta taille et que ton sourire vient se muer au sien tout en restant trop loin. Juste contagieux, les petites morceaux de bonheur dont tu te laisses volontairement infectée. Pour toi. Ça fait chaud dans le ventre un pour toi, un cadeau, pour toi. Woah. T'en avais même pas eu à Noël des cadeaux. Trop méchante pour ça, qu'ils ont dit. Ça ne se faisait pas à des enfants qui croyaient encore en la vie. Ça ne se faisait tout simplement pas. T'aurais pris n'importe quoi, une orange, une carte, un moment doux, n'importe quoi qui t'aurais fait sentir appréciée, aimée, humaine. Mais nan, les monstres ils s'en foutaient et tu te demandais quand même, s'ils s'inquiétaient, s'ils se demandaient parfois où t'étais, ou s'ils avaient juste levé les épaules en un "meh", ou souffler en soulagement parce que ça faisait une gamine malpolie de moins pour salir votre nom. Leur nom. Plus vraiment le tiens, jamais vraiment le tiens. Fume pas, qu'il dit et tu fais oui de la tête, décidé que t'avais compris. Parce qu'il doit parler de lui, non ? Ça aurait été moins étrange s'il fumait, mais c'est probablement ce qui te fais adorer le geste davantage. Fumer, escaliers, une question, que t'entends au fond de sa voix, des petits points d'interrogations dans tes yeux quand tu réponds, trop peu certaine. " Non ? " Tu questionnes à ton tour. Pas les escaliers, envie de retourner sur le toit, au moins jusqu'à ce qu'on revienne te chercher et te cassant les pieds, comme d'habitude. La nouvelle normalité. Anglais très bien, ça fait sourire plus fort, même si c'est pas vrai. La preuve est juste dans la prochaine question, que tu comprends en deux mots, chicago et quand, mais auquel tu ne sais pas répondre en anglais. Les chiffres encore complexes dans ta tête, pas envie de lui cracher un quarante décembre par erreur qui te donnerait l'air plus conne encore. Tu sais même pas comment dire les mois en anglais, ça va pas bien. Encore moins les années, ni les heures, c'est chaud. Le temps existe plus ou moins, ici, de toute façon, l'horaire que tu ne gères pas, mais que tu subis de peur de ne pas faire un truc correctement et que ça aille mal. "Decembrie." que tu souffles en roumain, pas certaine de si c'est près ou loin de l'anglais, parce que les mois en roumains de mai à iunie ils y a deux mondes.  "En haut ?" que tu lui demandes de t'accompagner histoire de finir de voir le jour s'achever comme il faut.  "Viens." que tu découpes de la langue sans savoir demander s'il veut, le paquet de cigarette qui se retrouve dans ta poche et la précieuse cigarette dans ton décolleté pour ne pas être perdue ou cassée. Les doigts qui viennent chercher les siens dans ton dos. Les mains prises sans gênes pour l'entraîner avec toi jusqu'au plafond du monde. Le vent qui vient vous mordre mais tant pis, tu le traînes jusqu'au vieux canapé où les fleurs et la mousse pousserons sans doutes au printemps pour en faire un lit de fleur, à force que le ciel y est plu et que les habitant y aient sans doutes mis leurs semences. Tu fais attention, à ce le vent ne lui jette pas ta fumée à la gueule avant d'allumer ta cigarette en silence, les yeux fixés sur le soleil qui fait sa crise de ne pas vouloir aller dormir avant que soudainement tu ne lui demandes. "Nom toi ?" Tu vas sans doutes le massacrer et il te le rendra bien. Raison pour laquelle ici, c'est Brandy, t'éloignant de toutes tes petites forces. Même si c'est joli Brandusa, qu'à la base c'est le nom d'une fleur, qui allait bien mal avec tes épines, jusqu'à l'épisode USA de ta vie. Mizeria.




 
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oh, few have seen it, but everybody talks ((brandy&august)) Empty Re: oh, few have seen it, but everybody talks ((brandy&august))

Dim 14 Fév - 17:33

oh, few have seen it, but everybody talks

 









elle ne force pas, ça change, c'est bien. la plupart se perdent soit dans des félicitations parfaitement hypocrites, c'est bien, faut pas commencer, entre deux taf et en faisant subir toute la traînée toxique tout en parlant, et des gens qui tentent de convaincre de tomber là-dedans, sans que lui sache lesquels il déteste le plus véritablement. impossible de quitter le toit pour autant, d'arrêter d'être jeune, de ne plus se sociabiliser avec la plupart des jeunes adultes de l'immeuble. le toit est beau et bien, en plus de ça, et ce serait un profond regret que de l'éviter. c'est difficile de faire comme s'il était malade avec le dernier traitement, de toute façon, et même sa mère dragon n'aurait pas assez de raisons de l'empêcher. aucune compréhension du mot qu'elle vient de prononcer, hésite entre novembre et décembre, en tous cas ça a l'air d'être un mois de fin d'année. il l'a vue pour la première fois à la mi-janvier, ça doit concorder. le mois de noël? qu'il demande en espérant faire bonne route, ne pas la mettre dans l'inconfort plus qu'elle ne l'est. chicago est jolie pendant cette période, mais il ne l'a pas vue sortir pour en profiter. après la ville est grande, et elle aurait pu ne pas être dans l'immeuble, décider d'emménager après.

elle l'emmène plus haut par la main, et lui décide qu'il la suivra, juste parce que la froideur de la sienne est bien plus intéressante que toutes les sensations qu'il pourrait rencontrer dans la soirée. que c'est bon signe aussi, qu'elle aurait pu choisir de repartir chez elle comme avait eu l'air de le décider avant et qu'il l'aurait tout à fait respecté. l'adolescent qui a des plans et qui s'y tient si fermement, la plupart du temps. le toit n'a jamais été aussi intéressant maintenant qu'elle y est et veut continuer d'être à ses côtés, finalement l'impression d'y être pour une raison autre qu'un faux sentiment d'intégration un peu ratée. le canapé glacé qui n'a jamais été aussi génial, humide contre son jean délavé, ne pourrait pas en avoir moins quelque chose à faire quand il la regarde se mouvoir et confortablement s'y installer. décide qu'elle est adorable quoi qu'elle fasse, même avec une cigarette entre les lèvres, alors que la seule odeur lui fait coller son nez entre le dossier et son épaule, contact qui n'est pas si désagréable alors qu'une quinte de toux l'emporte sur le coup. plusieurs instants qu'il la retient de toute façon, désolé soufflé discrètement sur une expiration, pas envie de savoir de qui il a attiré l'attention. continue, je n'ai presque pas la fumée.

son prénom, qu'il pense finalement, il l'avait presque oublié. august, qu'il répond, comme le mois à la fin de l'été, si ça lui parle, mais les mois ont encore l'air compliqué. ou l'empereur, et plein d'autres gens, c'était pas si original que ça comme idée. c'est européen, il se demande si la traduction en roumain est la même maintenant. c'est brandy, toi, non? nouvelle quinte de toux, il pourrait aussi blâmer le froid, air calme et serein quand c'est passé, espoir qu'elle ne s'affole pas. kip a parlé de toi, a dit que tu étais super sympa, et qu'il avait envie de t'inviter en soirée. un sms entier réservé à ses qualités auquel il n'avait même pas osé répondre, de crainte d'avoir l'air de trop facilement tomber pour une inconnue, qu'il découvre que c'était tout à fait le cas, qu'il en rigole et il ne saurait le tolérer. trop facile de trouver des sujets de douces moqueries, mais son ego est bien plus fragile que les rires ou les réponses acides qui ne font que le provoquer d'autant plus, il le sait.
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