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Mar 9 Fév - 2:19

8 février, 11h | 17e étage

Bitch, better have my money
Brandy & Callum

T’en a un peu marre. De jouer au fou avec les comptes. Putain. C’est toujours pareil. Encore une connasse qui n’a pas payé son dûe! Sans compter que bim, de nouvelles dettes, c’est n’importe quoi. Tu passais une main sur tes cervicales avant de fixer l’horloge. 10h du matin. T’avais pas encore dormi. T’avais pas sommeil. Non. Presque 36 heures, qu’elle ne répond pas. T’as même envoyé quelqu’un forcer la serrure de son appartement. Ce n’est pas dans les habitudes de Leo. T’aimes pas ça. T’aimes avoir un certain contrôle sur ta vie, sur ce qui entoure ta vie. Tu viens t’allumer une clope, tournant la page d’un livre de compte. Ton regard se posa sur un truc, qui t’arracha un grognement de mécontentement. Tu te redresses vivement, écrasant ta clope dans le cendrier. Tu passes ton veston d’habit avant de sortir de ton bureau. La porte claqua derrière toi, alors que l’on te demandait ce qui n’allait pas. «J’vais la fumer cette pétasse!» T’en avais rien à foutre de ce que les gens allaient dire, peu importe. Tu sortis ton portable, venant appeler le mec qui lui servait de baby sitter. «Dit moi qu’elle a une queue bien enfoncée au fond de sa gorge pour payer l’argent qu’elle doit, sinon, elle est mieux d’avoir une putain d’explication!» T’étais enragé. T’en voyais même pas clair. Assis derrière le volant de ta bagnole, tu prends la direction du Square. Ton nouveau domicile… Mais tu n’arrêterais pas à ton étage, non. Tu ferais un tour au 17ième, espérant trouver la poupée Barbie roumaine. Ta voiture garée en vrac, tu sortis, boutonnant ton veston. Tu pris une profonde inspiration, alluma une clope et tu t'engouffres dans l’immeuble. Ça grouille de pauvre monde, de pauvres gens qui espèrent avoir une vie meilleure. Y’a des flics, partout à cause des putains de disparitions et étrangement, t’es trop énervé pour aller signer celle de Leo. T’aurais pu le faire, mais là… T’as un autre problème à gérer. Un problème de fric. Et tu ne rigoles jamais avec le fric. Chaque centime a son importance. Tu grimpes n’arrives même pas à grimper dans l’ascenseur, celle-ci est non fonctionnelle. ENCORE. Tu lâches un juron avant de prendre l’escalier. «J’vous jure, j’vais défoncer la gueule de l’entrepreneure!» Tu prends tout de même ton temps, question de ne pas trop affoler ton coeur qui est encore trop fragile de tes dernières engueulades avec ta douce. La belle Leo. P’tite garce. Tu viens ouvrir la porte du 17 ième, passant une main sur ta chevelure blonde, repoussant du même coup la petite sueur qui s’était logée sur ton front. Tes pas te mène devant une porte, verrouiller. Tu frappes, on t’ouvre. «Callum… Elle est sous la douche.» Un sourire carnassier, tu entre. Tu retires ton veston, le posant sur la chaise à la cuisine. Ton regard se pose sur les autres prostituées présentent. On allait tout de même pas payer un appartement par filles. Tu remontes tes manches, fixant chacune d’entre elles. «Que ce qui va arriver, vous serve de leçon, si jamais vous tentez de jouer dans les poches des H.» Tu arrives devant la porte de la salle de bain. Verrouiller. Tu frappes d’un bon coup de pied, avant de t’y engouffrer. Tu tires sur le rideau, venant attraper la blonde par la nuque. Elle n’a pas le temps de se demander ce qui se passe que tu l’as déjà frappée du revers de la main, faisant chuter son corps sur le sol. T’en as rien à foutre qu’elle soit nue comme un ver, non.  Tu te penches, la tournant comme une crêpe, avant d’empoigner sa gorge. «OÙ EST LE FRIC PUTAIN!» Elle ne semble pas comprendre. Tu fronces les sourcils puis tu soupires. «L’argent, le cash, the money! WHERE IS SHE?» Tu la laisses durement retomber sur le sol. Gamin. Fragile, la poitrine encore rebondis, les hanches peu formées, mais qui avaient déjà reçu bien des coups de butoir. Tu replaces ta chemise avant de passer une main dans ta chevelure. Tu ne lui laisses même pas le temps de se redresser que tu empoignes sa chevelure blonde, la redressant rapidement, avant de la foutre sous la douche. Sourire carnassier, tu viens mettre l’eau froide. Glaciale. Un supplice. Ce n'est pas grave. T’en a rien à foutre qu’elle ait froid. Tu viens retirer sur sa tignasse. «Tes idées sont plus claires?!» Elle semble toujours perdue. Tu grognes, fermant l’eau. Tu la ressors de sous la douche, la ramenant vers la pièce principale. Tu voyais sa lèvre qui étaient abimées vue la claque que tu lui avais assener. Tu soupires avant de la pousser à terre. «Chacun de vos clients auront le droit de passer sur son corps. Tant et aussi longtemps, qu’elle n’aura pas rembourser sa dette. Et ce même si elle saigne de douleur. COMPRIT?» T’es en colère, tu vois noir. T’es un connard.

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Mar 9 Fév - 15:04

“Nu mă căuta. Căţea.” & Un autre matin qui se réveille un peu avant les onze heures. Pas naturellement, mais presque. Y'a un poids dans ton lit, y'a un doigt qui chasse la crinière de ton visage, chasse le sommeil de ta crinière, viens l'effacer de sur tes joues en te réveillant trop doucement pour que tu fasses la gueule, mais quand tu le vois, ton geôlier, tu la fais quand même. T'y restes une seconde de trop, à profiter de la douceur avant que tes doigts mordants ne repoussent les siens. Qu'il s'attaque à ta fenêtre pour y faire pénétrer le soleil en rigolant. "Rise and shine" Il dis toujours ça, faudrait que tu l'apprennes, que tu le cherches, sauf que ça ne te paraît pas important. Tu saurais pas comment l'écrire de toute façon. Et lui, il s'entête pourtant à te parler même si tu comprends rien, ou tu fais comme si, parce que tu ne saurais pas répondre. Shower. Le moment de te pousser vers la salle de bain pour te rendre présentable, mais tu frottes tes yeux du revers de la main en fronçant les sourcils. Il est trop tôt, tu ne travailles pas, il veut quoi, il y a quoi de spécial. Il voit bien que t'es confuse, mais toi, tu vois qu'il est pressé et qu'il saurait pas expliquer. T'avais pas trop le choix de lui faire confiance, de l'écouter, de rouler des yeux. Grande gamine l'attrapant de ses jambes malgré tout, pour le foutre dans son lit, le rouler brièvement dans tes draps, foutre sa tignasse en bordel avant de le laisser dans le bordel d'un lit qu'elle ne fera pas et de fuir en rigolant pour mieux s'enfermer dans la salle de bain.

C'est vraiment ton moment, la douche. De la petite musique roumaine sur ton portable, la porte verrouiller, un semblant d'intimité, un petit vingt minutes si t'abuse et qu'on te laisse abuser. Tu chantonnes même en retirant ton pyjama pour le laisser choir au sol. Te glissant sous l'eau chaude pour te prendre pour un canari sifflotant dans les vapeurs d'eau et oubliant le reste du monde. T'as au moins le temps de laver tes cheveux pour qu'ils sentent la fraise, t'envelopper ton corps de lait nettoyant à la vanille. Profitant des jets dans ton dos en retardant le moment où tu devrais sortir le rasoir, inévitablement te couper, à l'arrière du genou ou près des pieds. Sauf qu'au choix, t'aurais préféré te saigner plutôt que ça. La musique enterre le bruit de l'arrivée, mais pas celui de la porte qui cède sous un pied. Tu t'arrêtes de chantonner, te calant dans le fond de la douche, retenant ta respiration. Sauf que c'est trop tard. On tire sur le rideau et t'as que tes bras qui viennent te cacher par vieux réflexe obsolète. T'as même pas le temps, de voir qui s'est, de te demander si tu le connais, il attrape ta nuque, une baffe, une bonne et tu tombes, ça tourne un peu, tu cherches un appui au sol, mais toute ta vie est glissante. Trouve juste sa main sur ta gorge et sa voix qui hurle, tu comprends pas, la panique aide pas à comprendre. Tu pourrais faire non de la tête, sauf que t'es tétanisée. Argent. Oh. Oh. Tu sais pas ce que t'as fait. Mais il est convaincu que tu l'as fait et t'as pas assez de mots pour te défendre, c'est certain. Boum au sol. Aoutch. Tout ton corps qui y retourne, pas longtemps, t'inquiètes. Sa main qui tire tes cheveux pour te ramener sous la douche, le jet qu'il ouvre, glacial, ton cri de banshee qui transperce l'air, les murs même, clair et piquant, quand l'eau vient te glacer le sang. Princesse qui à pas trop été malmenée, encore. Tu sais pas ce qu'il dit quand il te rattrape, te ramène hors de la salle de bain, complètement nue, encore dégoulinante d'eau glacée, la lèvre en sang, ballottée comme un pauvre paquet de chaire dont on fait ce qu'on veut. Il te pousse, tu tombes au sol, ton regard qui ose pas se lever, les os qui tremblent de colère, d'impuissance, de froid, les dents qui se retiennent de claquer ensemble quand les frissons viennent te dévorer. Il hurle encore et tes yeux cherchent juste celui qui est censé te protéger, cherchent à le supplier, à lui vendre ton âme, qu'importe. " Q...quoi ? " La voix de petite bête brisée qui chantait et rigolait y avait même pas dix minutes qui cherche tant bien que mal à fracturer une petite brèche dans le coeur de celui qui était pas censé laisser ceci arriver, non ? Surtout que tu le connais pas le blond, tu sais pas ce que tu lui as fait. Avant qu'un autre coup ne te sois assené, ton gardien de prison semble soudainement vouloir reprendre son autorité. Se levant pour tenter au mieux de calmer ou de comprendre à ta place, parce que les autres filles sont toutes aussi terrorisées que toi dont les larmes ruissellent toutes seules, sans bruit. "Okay, okay. Elle te doit combien ? Elle te le doit pourquoi ? T'as parlé à Marshall ?" Qu'il demande, quand tu retiens encore ton souffle, incertaine de s'il décide de ta sentence avec lui ou s'il deal pour ta libération. Avec lui, ça peut clairement être les deux. Ça allait bien ce matin, pourtant, non ?

 
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Mer 10 Fév - 23:41

8 février, 11h | 17e étage

Bitch, better have my money
Brandy & Callum

Tu te fou de son âge, de son background. Toi, ce qui compte, c’est le fait que ton livre de compte balance à la fin de la semaine. T’en a rien à foutre qu’elle ne comprenne pas l’anglais. Qu’elle soit unilingue. Toi, tu veux voir la couleur de l’argent qu’elle te doit. Qu’elle doit au clan. Tu fais craquer ta nuque, alors que son corps git sur le sol, nu et trempé. T’as presque envie de lui cracher dessus. Les putes comme elle, y’en avait des tonnes. Tu te demandais encore ce que Marshall lui trouvait de si bien. Elle était bonne, faut pas se leurrer, mais c’était pas ta came. Toi, t’aime les grandes brunes. Une grande brune en particulier. Tu fronces les sourcils quand le geôlier s’approche de toi. T’as un léger sourire, avant dee venir prendre ton arme qui repose dans l’étui que tu porte sous le bras. Tu viens lui pointer entre les yeux. «Fait ton putain de job, t’assurer qu’elle collecte ses putains de client. Et gère ta gueule. Maintenant, laisse-moi gérer le fric, comme il me semble. Je vais gérer Marion plus tard.» L’homme recula, levant les mains. Ça ne servait à rien. T’étais trop en colère pour ne pas réagir au quart de tour. Qui sait si le coup ne partirait pas trop vite? Oups, accident de boulot. Tu te passes une main sur le front, regardant les autres filles. Toutes apeurées. Tu lèves les yeux au ciel avant de ranger ton arme. «Putain, couvrez là!» Une des filles se redressa, venant poser une veste sur le dos de la princesse blonde. Petite catin. Tu viens t’allumer une clope. «Ramenez là à sa chambre. J’veux pas revoir sa gueule avant de me calmer.» La même fille vient aider la demoiselle, l’amenant dans sa chambre. Toi tu reste là, au milieu du salon, de la pièce principale. Main sur la hanche, la clope au bec. Ton regard observe. Elles n’ont rien de bien particulier les putes d’ici. Nah. Heureusement que t’es pas dans le programme de sélection. Tu soupires de nouveau avant de voir la demoiselle sortir d’une chambre. Clope entre les doigts, tu tires une nouvelle fois dessus avant de venir la poser dans un cendrier. Tu te rendis vers la chambre. Elle était là, la p’tite catin. Tu viens fermer la porte derrière toi, activant le verrou. Tu la fixes, venant te poser sur le petit lit. «J’aime pas devoir me fâcher, tu comprends? J’aime quand les comptes sont parfaits, tout beaux..» Tu souris, tendant le bras pour l’attirer contre toi. Tu viens la poser de part et d’autre sur tes cuisses. Elle pourrait se débattre, mais ça serait pire. Tu souris avant de venir poser ta large main sur sa petite poitrine. Mamelon que tu viens malmené. «Où est le fric?» Tu tires un peu plus sur le bout de chair, passant ton bras autour de sa taille pour l’empêcher de fuir. Tu souris, quand elle se tord de douleur. Tu lâches sèchement son sein, avant de pencher la tête sur le côté. «Oh, je t’ai fait mal ma jolie?» T’as un sourire amusé, alors que tu viens caresser sa joue, puis sa gorge, que tu serres, la ramenant près de toi. «T’as pas idée du nombre de pipe que tu vas tailler pour payer ta dette.» Tu la jette par terre, sans ménagement. Tranquillement, tu te lèves, venant défaire ta ceinture. Tu te mets à sa hauteur, attrapant sa mâchoire, écrasant ses joues. «T’es ordinaire quand on regarde ça… J’ai bien envie de voir ce que Marion te trouve.» Tu te redresses, ouvrant ton pantalon. Tu sors ton membre encore flasque, sans vie, tout de même imposant. «Ouvre ta gueule et si tu mords, t’auras une correction.» Tu la fixes, caresser ton sexe avant de venir poser une main derrière sa tête, alors que l’autre pinçait son nez, la forçant à ouvrir la bouche pour respirer. Tu profite de cette ouverture pour te glisser entre ses pulpeuses. Tu lâche un râle de bien être. C’est chaud, agréable de sentir sa petite mâchoire qui enserre ton sexe. Tu imposes un rythme, espérant qu’elle n’oserait pas te mordre. Ta masculinité commence à prendre de l’ampleur entre ses lippes. Elle a une bonne bouche, c’est vrai. À croire que y’a que ça qui est bon chez elle. Le rythme devient plus rapide, ne laissant pas une seule seconde de répit à la gamine. Tu finis par jouir dans sa bouche, retenant sa tête, bien au fond de sa gorge. Un râle de plaisir, de satisfaction. Tu finis par reculer, venant essuyer la larme qui perlait sur sa joue. «Chuutt, ce n’est que le début.» Tu attrape sa chevelure, la tirant vers le lit. Tu la tournes comme une crêpe, remontant son fessier. Ta main qui s’abat brutalement sur sa croupe, avant que tu ne sorte une capote de ton porte-monnaie. Hors de question que tu baises une pute sans protection. Tu l’enfile en un tour de main. Tirant sur son fessier encore, tu t’enfonces en elle, mettant une telle violence dans le premier coup que le lit frappa dans le mur. Elle apprendrait à la dure que fallait pas jouer avec les comptes.


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Ven 12 Fév - 1:10

“Nu mă căuta. Căţea.” &
Nue et tremblante au sol, tu ne savais plus, s'il te viendrait en aide, ton gardien ou s'il te laisserait à ton pauvre sort. À défaut de t'aider à t'en sortir, au moins s'assurer que tu comprenais pourquoi tu te faisais brutaliser de la sorte. Sauf que oui. Il pose des questions. Demande la même chose que toi : pourquoi ? Tu ne le vois pas, son sourire mauvais, mais tu vois son arme sortir, se pointer dans le front de ton gardien et il y a un cri aigu qui sort de ta bouche, que t'essayes d'étouffer derrière tes mains. Prête à te foutre entre trop pour le sauver dans un moment de plus superbe connerie, d'adrénaline qui coule partout dans ton corps. Il parle de Marion, il jure, il est pas content, tu comprends aussi client. Tu te demandes ce que t'as fais. Ou alors que tu n'as pas fait. Relevant tes yeux vers lui, pour scruter son visage. Non, non il te semble pas que tu l'as eu comme client, lui.  Heureusement ton gardien se sort de là, lève les mains, s'enva. Et t'es soulagée une seconde avant d'avoir peur que l'arme ne se tourne vers toi. Est-ce que t'as le temps de courir te cacher et est-ce que tu dois juste restée à genoux et attendre l'exécution. Sauf qu'il range l'arme avant de crier encore. Une des filles qui vient mettre une veste autour de tes épaules avant qu'il gueule encore. La fille qui te tire vers ta chambre. Les pas petits et difficile avant que la porte ne se referme derrière vous, que tu lui prennes les mains, paniquées et encore tremblant. "Pourquoi ? Pourquoi lui mal moi ? Pourquoi fâché ? Bran faire quoi mauvais ?" Que tu questionnes rapidement à voix basse pour pas qu'on vous entende. La fille hausse les épaules, parce qu'elle a pas toutes les réponses, ne sait pas comment te les expliquer non plus. "Tu lui dois de l'argent. Toi argent, lui, Bran. " T'es paniqué, tu lui tiens les épaules fermement. Faut qu'elle reste avec toi, faut qu'elle t'explique. "Non. Moi pas argent lui. Moi pas connaître. Pas savoir." Que tu paniques, que t'essayes de demander. Pour quelle raison tu lui dois de l'argent. T'as rien acheté, t'as rien dépensé, t'as rien demandé à personne. Elle sait pas comment t'aider, presse tes épaules de ses mains. "Reste là, j'vais te chercher une serviette." Puis elle sort, te laisses seule et tu ne sais pas quoi faire d'autres que te poser sur le lit et attendre, resserrer la veste autour de tes frêles épaules.

Tu sursautes quand la porte s'ouvre, que c'est lui, qui revient. Ton coeur qui rate un battement quand il verrouille la porte. T'es terrorisée. Tu sais plus où te mettre, quand il vient se poser à côté de toi. aime pas, fâché, parfait, beaux. Tu comprends rien et son sourire te fais peur, mais tu luttes pas quand il te ramène sur ses cuisses. Son immense main sur ta petite poitrine. Ça fait presque du bien, ça te réchauffe alors que t'es glacée. Envie de te blottir contre lui, juste pour plus avoir froid. Sauf que ses doigts viennent te pincer un mamelon. Et quand il parle d'argent, il pince plus fort encore, y'a tes lèvres qui s'entrouvrent dans un petit hoquet de douleur, mais tu n'oses pas crier et il t'empêche de t'enfuir d'un bras. Y'a juste ton corps qui se tord parce que ça fait mal et souffle quand il lâche enfin. Il questionne, tu comprends le mot mal, sauf que tu sais pas s'il vaut mieux hocher la tête en un oui ou en un non. Tu ne sais pas si ça changerais quelque chose de toutes façons. Sa main en caresse sur ta joue, ta gorge, celle qu'il serre et tu panique encore dans une petite plainte. Dette. Tu sais pas ce que c'est, mais tu vas devoir le chercher. Ils l'ont trop dit et tu sais pas c'est quoi, une dette.

Il t'envoie valser au sol où tu cherches ton souffle, de quoi t'accrocher à la vie. La ceinture qui claque. Ça, tu sais ce que ça veut dire. Tu comprends juste pas pourquoi Marion il t'as envoyé un client comme lui. Est-ce que t'as été méchante ? Est-ce que ton gardien lui a dit que t'avais été méchante ? Sur tes genoux, tu connais le reste de la danse. Ta mâchoire qu'il serre trop fort et toi qui tends tes lèvres vers lui, qui offre ta bouche, qu'il prendrait de toute façon. Tu comprends pas, ses insultes, tant mieux. Son membre qu'il te présente. Ouvre. Ça tu sais. Bonne fille, les yeux relevés vers les siens qui ouvre grande la bouche, ton nez bouché, parce qu'il peut pas être gentil avec toi. Ta bouche qui l'accueille quand il s'y enfonce, que tu commences à le sucer, suivant ce qui lui désir comme cadence pour le faire durcir dans ta bouche. Tu te forces, cherche à sauver ta vie au bout d'une fellation. La langue qui s'invente experte quand tu le laisses s'enfoncer loin dans ton œsophage. Trop loin. Trop fort, trop creux. Tu t'étouffes avec son éjaculation, les yeux qui perlent et le goût âcre que t'es forcée d'avaler. Il va être content là, peut-être ? Il libère ta gorge, laisse que les filets baveux contre ton menton, essuyant ta larme. Et t'y crois, pendant un instant, qu'il sera gentil. Non. Il y a sa main qui tire tes cheveux. Poupée balancée vers le lit qui retient un autre cri. Qui te retourne sur le ventre, se ramène ta croupe, celle qu'il claque et ce cri là te surprend toi-même. Le son d'une capote qu'il déchire. Au moins. Au moins bordel. Sauf qu'il te pénètre sans plus. Que t'en échappes une longue plainte, le manque de lubrification en toi rendant la pénétration difficile. Il y a quelques larmes, qui coulent dans tes draps. Heureusement que ton corps te viens en aide, l'huile naturelle qui vient faciliter les ébats, ta respiration qui arrive à se calmer. Prise dans ses vas et viens qui martèlent ta croupe, ton cerveau se ferme pas, il tourne à cent à l'heure et attrape l'idée qui semble la meilleure pour la survie plutôt qu'être sur le ventre et zone out jusqu'à ce que ce soit terminé. Peut-être qu'il sera gentil, si tu le traites comme les autres. Le ventre en feu, le souffle encore en bordel, tu te forces, renaît des cendres, te redressant sur tes bras pour creuser ton dos. Te redressant complètement, ta main qui glisse dans sa nuque, ton dos qui retrouve son torse, ta tête qui se jette vers l'arrière contre son épaule. Les lèvres entrouvertes, tu ne gémis pas, tu laisses juste sortir les souffles saccadés qu'il fait remonter dans ton œsophage à chaque coup de reins. Tu sais pas, si ça plaît ou s'il préférait quand t'étais en petite boule de douleur. Ça te fais encore mal, sauf que la douleur t'as un peu engourdie, l'adrénaline aussi. Tu sens moins. C'est un client. T'avais juste pas compris. C'est ce que tu te racontes pour boire le cool-aid. On t'avais demandé ton consentement une fois, avant de te faire prendre l'avion. T'avais pas les capacités linguistiques de demandé si c'était normal, ici, en Amérique. C'était peut-être pour ça qu'il t'aimait bien, Marion. Qu'il t'avait trouvé un bon gardien et qu'il payait ton loyer. T'étais peut-être spéciale et peut-être qu'il était ton test pour le prouver. Tant d'histoire dans ta tête de gamine, pour arriver à encore dormir le soir et pas que s'évanouir dans des crises de larmes. Tant de beaux mensonges à elle-même pour arriver à chanter encore les matins, sans que la voix se casse d'une douleur de vivre trop aiguë.


 
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Dim 14 Fév - 0:11

8 février, 11h | 17e étage

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Brandy & Callum

T’as pris sans qu’elle ne le veuille. C’est clairement un viol, mais t’en a rien à foutre. Ça doit être une des clauses du contrat. Soit belle et ferme ta gueule. Encaisse les coups de bassins, les coups de queues et c’est tout. Tu manipules son corps avec une telle facilité que ça fait presque peur. Tu finis par jouir dans sa bouche avant de la balancer sur le lit sans aucun ménagement. Pourquoi prendrais-tu des précautions? Pour toi, ce n’est qu’une pute comme une autre. OH, bien sûr, elle ramène du cash, mais elles en ramènent toutes. Une claque sur ce cul parfait, tu viens sortir une capote, que tu enfiles. Machinalement, tu viens défaire ta cravate. T’es encore vêtu et tu sais que tu vas avoir chaud. Tu t’enfonces en elle, sentant une certaine résistance. Tu grognes, ta main se coinçant dans sa chevelure dorée. Tu lui assènes quelques coups violents. Ton autre main vient défaire ta chemise, que tu te débarrasses. Tu allais reprendre sa tignasse quand tu la vis se redresser, poser sa tête sur ton épaule, suivant les mouvements. Tu grognes encore avant de venir planter tes lèvres dans son cou. Tu l’embrasses, mordille sa peau, alors que l’une de tes mains vient caresser sa poitrine. T’es étrangement doux cette fois. Tu ne lui tires pas le mamelon comme un peu plus tôt. Non. Tu voudrais pas qu’elle se rebiffe. Tu souris, carnassier, avant de sentir le désir prendre le dessus. Ça fait un moment que t’as besoin de te lâcher, de baiser et non faire l’amour. Avec Leo, t’es pas capable d’être rude. D’être sévère, non. T’as peur de la brisée, de l’abimée. Elle est bonne la petite blonde. Son corps de femme en devenir est tout de même appétissant. Tu te retires d’elle, la faisant tourner, tout doucement pour qu’elle soit sur le lit. Tu la pousses pour qu’elle se retrouve complètement couchée. Ses cheveux forment un auréole autour de sa tête. Tu te mords la lèvre avant de venir virer tes chaussures et le restant de tes vêtements. Tu te mets au-dessus d’elle. Ta main glisse de sa gorge jusqu’à sa poitrine, puis à sa féminité. «N’ait pas peur…» Ton pouce effleure sa lèvre, que tu viens forcer pour qu’elle y passe la langue. Tu souris quand elle s’exécute, avant que tu ne viennes faire des cercles sur sa perle de bonheur. Elle est chaude, moite. Tu grognes avant de descendre au sud. Tes bras qui attrapent ses cuisses, tu t’y perds. Ton nez, qui se cale dans sa fleur. Merde que ça sent bon une femme. Encore mieux quand celle-ci sort de la douche. Ta langue vient découvrir chaque partie de cette féminité plus que agréable. Tu veux que malgré la violence dont tu avais fait preuve, qu’elle se souvienne de toi. Tes dents viennent torturer sa perle, avant que tu ne reviennes plus haut. Tu la tires, alors que tu viens la pénétrer, sans ménagement. Encore. La délicatesse a foutu le camp d’un seul coup. Tu viens la soulever, la laissant glisser le long de ton sexe. Ta main remonte de son ventre, à sa gorge. Tu la laisses onduler contre toi, sa croupe t’arrachant des grognements de satisfaction. Elle est bonne, c’est vrai. Tu glisses ta main le long de son dos, venant agripper sa tignasse. Doucement, tu la tire vers l’arrière, t’offrant une meilleure vue sur ce corps immaculé. Sa peau pâle, la rondeur de sa poitrine, ce nombril fin. Ça te fait vriller. Tu grognes avant de la faire chavirer, la posant sur le matelas. Tu reviens foutre ton nez entre ses cuisses. Tu y laisses ta marque cette fois, un suçon à l’intérieur de sa cuisse parfaite. Tes doigts qui s’attardent à la détendre, à naviguer dans son ventre pour lui faire découvrir des sensations. T’as cette pensée qui te traverse, depuis quand qu’elle avale des queues? Était-elle encore vierge quand elle a débarquée ici? Bref, ça importe peu, là, c’est toi qui prenait ton pied avec elle. Quitte à avoir passé après Marion, ce qui ne serait pas nouveau. Tu viens embrasser le suçon que tu viens de lui faire avant de revenir lécher sa perle une fois de plus, puis tu reviens la prendre, doucement cette fois, remplissant sa cavité de ton être. Un râle s’échappe d’entre tes lippes alors que tu viens mordiller son cou. «Fuck, c’est si… Serrée.» Comme si le fait qu’elle n’avait pas les hanches encore assez former la rendait plus étroite. Tes coups de butoirs sont féroces, sans délicatesse, mais tu glisses en elle avec une telle facilité que tu espères qu’elle prenne son pied un minimum.


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