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Éternellement vôtre + Calleo Empty Éternellement vôtre + Calleo

Ven 5 Fév - 15:34

Éternellement vôtre... (Calleo) &Tu repoussais vivement les cheveux de la brune qui reposait entre tes cuisses. Assit à ton bureau, une clope à la main, un verre à l’autre, tu la laissais te pomper… Quel moment désagréable. Quand une des putes ne payait pas son dûe. Ta tête venait se poser contre le dossier de ton siège, avant de soupirer. Tu reposais ton verre. «Vas-y, dégage. J’ai l’impression de me faire sucer par un râteau.» Tu balaya l’air de la main devant l’air déconfite de la pute. Elle se redressa, essuyant sa bouche du revers de la main avant de t’insulter. «Pardon? J’ai pas bien compris, t’as dit quoi?!» Elle n’osa même pas rajouter quoique ce soit. Elle savait que ton poing pourrait s’abattre sur sa jolie petite gueule et ce, à plusieurs reprises. T’avais aucune morale sur ce point. Non. Elles devaient payer ces putes. Faire ce qui leur était demandé sans se plaindre. Quitte à se taper des queues dans le fond de la gorge, à les faire pleurer. Tu te redressais à ton tour, venant ranger ton attirail et remettre ta chemise dans ton pantalon. Tes lunettes sur le nez, tu pris une feuille, cherchant un truc. Ça faisait plusieurs fois qu’elle ne payait pas… C’est triste. Pour elle, pas pour les H. Tu savais que vos finances se portent assez bien pour couvrir les non-paiements d’une pute… Mais elle… Pauvre demoiselle, ne pourrait pas le supporter encore longtemps. Tu balançais l’état de compte sur ton bureau avant de t’approcher de la vitre teintée qui te donnait un merveilleux accès sur ce qui se passait dans le club. Ta clope entre tes lèvres, tu tires dessus, laissant un soupire s’échapper du même coup. Ton portable sonna bruyamment, te rappelant de prendre ta médication. Levant les yeux au ciel, tu mets fin à la sonnerie avant de le ranger dans la poche de ton pantalon. Tu allais venir te poser à ton bureau, ou même sur le canapé pour te reposer un peu, quand on frappa à ta porte. «Hm..» Celle-ci s'ouvre, faisant place à un des hommes de main. «Y’a une Miss Webb pour vous.» Un sourire se dessina sur ton visage avant que tu ne lisse ta chemise. Tu viens écraser ta clope dans le cendrier, lui faisant signe de la laisser entrer. «Oh et si jamais, elle revient. Tu la fais toujours monter. Tu retiens ce visage comme tu retiens la date de fête de ta mère, c’est bon?» L’homme hocha la tête avant de se décaler pour laisser passer l’agréable physionomie de Leo. Ton sourire se fit plus grand, avant que ton regard ne s'assombrit. «Eh! J’tai dis son visage, pas son cul! Dégage maintenant!» Tu n’aimais pas que l’on matte ce qui t’appartenait. Tu pris une gorgée de ton verre avant de venir vers elle. «Que me vaut cette visite, ma douce? Tu t’ennuyais de moi? Parce que moi, oui...» Léger sourire alors que ta main se posait sur sa hanche et que l’autre agrippait sa nuque pour venir plaquer tes lèvres contre les siennes. Leo, c’était ton point faible. Ta kryptonite. Celle qui allait bien finir par te rendre fidèle… Si elle finissait par accepter que tu puisses être qu’à elle..

 
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Dim 7 Fév - 23:07

Éternellement vôtre... (Calleo) & T’as le moral dans les chaussettes, ce soir, exaspérée par ta séance de rééducation peu concluante pour cette fois. On t’a prévenu que le chemin serait long et douloureux, que les débuts seraient difficiles et que seule la véritable volonté serait ton amie dans cette nouvelle épreuve. Déjà six semaines que tu as emménagé au Square, quatre de plus que tu es tombé à la dernière représentation de ta vie. Deux mois que ta vie entière a été chamboulée, et bien qu’on te rabâche sans cesse que tu sois une battante, que tu progresses et qu’il faut laisser le temps au temps, tu commences à saturer. La douleur, interne comme externe, elle te ronge petit à petit, te remet les pieds sur Terre quand tu rêves de tes souvenirs joyeux et te rappelle le bonheur d’une vie longuement rêvée et finalement atteinte avant que tout ne vole en éclats. Alors aujourd’hui, sous le poids de la douleur incalmable, d’une frustration accumulée et d’un mal être plus profond que tu ne l’aurais toi-même imaginé, t’as craqué. T’as envoyé paître la kiné, enragée à l’idée de ne pas avancer comme tu le souhaites, fâcheuse impression que de faire du sur place, mais surtout de le faire pour rien. Pour la première fois, t’as baissé les bras, incapable de garder à l’esprit que tu n’en ressortirais que plus forte, trop aveuglée par la souffrance et la rage en découlant. Elle n’est donc pas resté, Bea, n’a pas cherché à te pousser plus loin qu’elle ne l’avait fait jusqu’ici ; sûrement avait-elle compris que tes limites étaient atteintes pour l’heure. T’es resté recroquevillée sur toi-même durant de longues minutes, prise dans le tourbillon de tes sentiments négatifs, ton corps se secouant au rythme de tes sanglots. Une fois à court de larmes et quelque peu calmée, tu te redresses et te relèves non sans une grimace pour rejoindre la salle de bain en boitant légèrement. Un anti-douleur avalé et une douche plus tard, tu t’empresses de sortir de chez toi pour prendre l’air, vagabonder sans but précis dans un premier temps. Tes pas t’emmènent inconsciemment vers le lac Michigan, non loin du Purple H, ce qui t’arrache un soupire lorsque tu t’en rends compte. Dernier coup d’œil à ta montre et tu te résignes à y remettre les pieds, profitant d’être ici pour rendre visite à Callum que tu n’avais pas vu depuis plusieurs jours. Revenir ici te fait tout drôle, te replonge dans des souvenirs qui te semblent à des années lumières, d’une autre vie. Tu indiques la raison de ta venue et on t’escorte jusqu’au bureau du blond, devant lequel tu dois patienter. Tu souffles en levant les yeux au ciel face à ce que tu considères presque comme une mise en scène. Pourquoi ne pas te faire rentrer et basta, après tout? Callum avait-il un poste égal à celui d’un secrétaire de département pour qu’on t’annonce avant de te laisser entrer? C’est absurde, et t’es pas vraiment du genre patiente, surtout pas actuellement. Bien que de l’autre côté de la porte, tu peux entendre les paroles du quarantenaire et ça t’arrache un sourire que tu agrandis hypocritement vers l’homme ayant eu l’amabilité de t’amener ici. Tu entres donc dans la pièce et tombe directement sur le regard sombre de Cal, qui s’approche et t’accueille à sa manière. Plus détendue que les quelques heures précédentes, tu te laisses aller vers lui, pouffant contre ses lèvres. “J’ai eu une journée de merde…” commences-tu en soufflant. Tu te sépares de lui à contre coeur, t’installes sur l’un des fauteuil et passes une main sur ton visage. “Je suis donc sorti prendre l’air, et j’ai fini non loin d’ici alors… je me suis dit que je pourrais venir me détendre,” que tu ajoutes en te mettant dans le fond du siège. Tu relèves la tête vers lui avec un sourire carnassier collé aux lèvres.

 
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Mar 9 Fév - 0:23

Éternellement vôtre... (Calleo) &Elle a une sale gueule ta Leo. Elle ne te donne même pas la chance de pouvoir l’embrasser de nouveau. Non. Elle se sauve aussi vite qu’elle est apparue devant toi. Tu soupires, levant les yeux au ciel avant de revenir vers ton bureau pour allumer une clope. Tu viens t’y appuyer croisant tes bras sur ta large poitrine avant de sourire, amusé. Elle est douée la gosse. Assez douée pour savoir que tu ne dirais pas non pour qu’elle se change les idées avec toi Oh, bien entendu, elle était aussi assez douée pour te faire croire qu’elle voulait un truc, alors que non. Vipère. Tu tires sur ta clope avant de la poser sur le cendrier. Tu viens remonter tes manches puis tu alla appuyer sur le bouton de la radio. T’étais un vieux. Pas toujours après ton téléphone, préférant les bons vieux disques de musique. Tu viens près d’elle, prenant sa main. Les vibrations de la musique du Purple faisaient vibrer la place, mais jamais autant qu’elle faisait vibrer la pierre qui te servait de cœur. Tu la fis se redresser. Doucement, tu mis sa main sur ton épaule, alors que la tienne entourait sa taille. Tu te mis à danser, coller, doucement avec elle, comme un vieux couple qui appréciait un petit moment simple de la vie. Ta voix rauque se mit à chanter les paroles. «You're as warm as a glass of brandy and honey, I stay stoned on your love all the time.» Tu souris avant de venir embrasser la naissance de sa mâchoire. Ta main sur sa hanche remonta pour venir caresser son dos, la collant un peu plus contre toi. Tu savais qu’elle avait eu une mauvaise journée et que tu te devais de la rendre un peu meilleure. Tu sourit doucement avant de venir la soulever un peu, tournant sur toi-même. Tu reviens embrasser son cou avant de la reposer. «Tu sens bon, Leo...» La chanson arrivait à sa fin, alors que tu te défaisais d’elle. Ton cœur s'apaisa. Comme si c’était normal qu’elle t’apaisait autant. Qu’elle te rende aussi calme. Tu retournais vers ton bureau puis tu fouilla dans un des tiroirs. «Alors, quelles mauvaises nouvelles tu as eut pour que tu aies l’impression que ta journée ait été si merdique?» Tu jettes un oeil à l’horloge. «Enfin, il est quand même tard, non? T’as eu un rendez-vous en soirée à la clinique?» Tu sortis un petit boitier de ton tiroir, venant le glisser dans ta poche de pantalon, puis tu reviens vers elle. Tu te poses sur un fauteuil, la tirant sur toi. Tu poses une main sur le bas de son dos, puis une sur sa cuisse. Tu la caresses un moment, plantant ton regard dans le sien puis tu remonte ta main vers sa joue pour l’embrasser doucement. «Au faites… J’ai un cadeau pour toi… Mais avant, raconte-moi ce qui s’est passé...» Non pas que tu voulais attendre pour la surprise, mais tu tenais à ce qu’elle vide sa rage avant que tu ne lui offres un truc qui allait… Peut-être créer un autre sentiment de rage… Après tout, tu voulais lui offrir un truc qui avait une grande valeur sentimentale pour toi. Un truc que tu aurais pu lui offrir y’a des années déjà, mais son incertitude et son inquiétude faisait en sorte que ça n’arrivait jamais… Mais voilà que ton temps était compté. Tu le sais, tu le sentais et c’était important que ça se fasse avant que tu ne te tapes une autre crise de cœur. T’étais sur de toi. Même si votre relation était étrange, non officielle, il n’y avait qu’elle dans ton cœur. Elle pourrait te rendre fidèle si elle le voulait… Mais tout dépendait de Leo.

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Mar 9 Fév - 21:30

Éternellement vôtre... (Calleo) & La proximité avec Callum te calme quelque peu, tes pensées négatives s’envolent et tu réussis à détendre tes muscles endoloris. Lui semble frustré que tu ne t’attardes pas contre lui pour venir t’asseoir, à l’instar de toi-même, mais tu forces un peu trop sur ton genoux ces derniers temps, et malgré l’anti-douleur, tu sens bien que ta démarche n’est pas tout à fait correcte. Le temps défile, et alors que ta rééducation est loin d’être terminée, tu commences à perdre patience, persuadée que tes efforts ne serviront à rien. De toute manière, tu ne pourrais pas reprendre ta carrière, et on te l’avait très clairement fait comprendre. L’époque d’une vie effrénée, rythmée par les entraînements et les spectacles était désormais révolue. Et bordel, ce que ça peut faire un mal de chien, ça aussi, rien que d’y penser. Tes iris ne quittent pas la silhouette du blond, et tu l’observes d’un œil aiguisé, une grimace se peignant sur ton faciès lorsque l’odeur de la nicotine agresse tes narines, mais tu ne dis rien. Pas comme s’il t’écoutait, après tout. Sourcils froncés, tu retiens un toussotement tant bien que mal, pas sûr de supporter cette fumée âcre toute la soirée. Cancéreuse que tu suis toujours du regard lorsqu’il la pose contre le cendrier, et la déception qu’il ne l’ait pas complètement écrasé te traverse l’esprit alors qu’il se revient vers toi après avoir allumé la radio. La voix de Chris Stapleton se propage dans la pièce, et bercée par ses paroles, tu oublies presque tout le reste avec Callum venant attraper ta main pour te relever. L’hésitation se fraie un chemin, furtive, parce que la danse reste encore quelque chose de sensible pour toi, même lorsqu’elle n’est pas classique. Mais consciente qu’il ne le fait pas pour te mettre à mal, tu le suis, un sourire vissé aux lèvres. Tu en oublies presque la douleur ainsi que la longue journée que tu venais de subir, te laissant aller contre lui, relâchant une pression que tu t’entêtes à garder depuis plusieurs jours. Le souffle de sa voix s’échoue contre ta peau, ce qui t’arrache une myriade de frissons, qui se propage un peu partout lorsque ses lèvres s’y imposent à leur tour. Il te fait tournoyer, et tu te mets à rigoler, d’un rire doux et léger, comme si tu n’avais aucun problème et que tu savourais là un instant banal avec un petit ami. Mais la réalité est tout autre, et elle te rattrape bien vite quand il te repose pieds contre terre en ponctuant son geste d’un compliment auquel tu réponds par un nouveau sourire. Flatteur. Cette fois-ci, tu prends la direction du bureau aussi, venant prendre appui contre celui-ci, le regard toujours aussi curieux accroché à lui. Ta main balaie l’air dans une mimique dépitée, et tu relâches un long souffle. “Nouvelle séance de kiné pas concluante… j’ai l’impression que la rééducation ne servira à rien,” pestes-tu en repensant à ton échec du jour, yeux rivés sur ton doigt traçant une ligne imaginaire sur le bois de l’écritoire. T’es dépitée, c’est peu de le dire, mais t’es surtout en colère. Contre toi-même, contre le reste du monde. Contre lui, aussi. S’il n’avait pas réussi à t’apaiser quelques minutes auparavant, sûrement que tu craquerais, là maintenant. Mais à la place, tu relèves la tête en la secouant, tu plaques un énième sourire à l’intention du quarantenaire qui t’attire à lui, ses mains te donnant l’impression d’être brûlantes. Tu lui rends son baiser, que tu trouves d’ailleurs bien trop rapide, qui te laisse sur ta faim, et tu hausses les sourcils. “Un cadeau?” T’es plutôt étonné, oui, même si ce n’est pas la première fois venant de sa part. Un rire te secoue les épaules à son chantage, et tu viens l’embrasser chastement à ton tour, front contre front. “Il ne s’est pas passé grand chose, j’ai simplement craqué…” murmures-tu contre ses lèvres, peu envieuse de t’étaler sur le sujet, beaucoup plus curieuse de savoir ce qu’il te réservait.

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Dim 14 Fév - 1:14

Éternellement vôtre... (Calleo) &Elle est têtue ta Leo. Même lorsqu’elle était gamine, elle était comme ça. Toujours à chercher un moyen d’arriver à ses fins… Mais là, c’est différent… Du moins, tu y crois. Elle n’est plus la gamine que tu regardais danser. Non. elle est devenue une femme. Brisée par des rêves envolés. Jamais tu ne pourras lui redonner la joie qu’elle avait quand elle dansait. Tu le savais, mais tu ne pouvais rien y faire. Tu encaissais les coups avec elle. Encaissaient les problèmes, ses douleurs, ses peurs. Tu voulais que se sente importante pour toi. Parce qu’elle l’était. Tu posais ta main sur sa cuisse alors qu’elle te parlait. Oh, bien entendu, elle écourta ses explications, préférant poser ses lèvres contre les tiennes, question que tu flanches. Tu lâchas un grognement avant de remonter sa main vers sa nuque, imposant un baiser fiévreux. «Vous êtes terrible Miss Webb.» Après, tu es conscient que tout ça, c’est dur pour elle. C’est comme si toi, tout à coup, tu ne savais plus aligner un seul chiffre… Les crises de cœur, les problèmes de santé, ce n’était rien. On crève tous un jour, mais si tu devenais aveugle, ou incapable de calculer, tu finirais sûrement par te tirer une balle. Tu glisses ta main le long de sa joue. «T’es plus forte que ça mon amour, tu le sais… T’es une femme brillante, merveilleuse et je n’ai aucun doute que tu vas te relever de tout ça… Ok, tu ne retrouveras peut-être pas ta souplesse d’antan, mais je suis sûre, avec une bonne rééducation, que tu vas y parvenir… et s’il faut que je sorte des billets pour que tu aies les meilleurs, je le ferai. Rien n’est trop beau pour toi.» Tu caressais sa joue du bout de ton pouce avant de revenir l’embrasser délicatement. «Je crois en toi, ok? C’est déjà un bon point dans ta rééducation, ok?» Tu souris. T’aimerais qu’elle soit heureuse. Tu te râcles la gorge. «Cela dit...» Tu la soulèves un peu, afin d’atteindre la poche de ton pantalon. Tu viens sortir le petit écrin en velours. Noir, sombre. Tu prends une profonde inspiration. «Écoute… Je sais que tu n’es pas dans la meilleure passe de ta vie, que ça n’est pas ce que tu voudrais vivre. Mais je suis là pour rester Eleonore. Je n’ai pas l’intention de baisser les bras et de te laisser sombrer. Je ne suis peut-être pas le mec parfait, je jure, je fume, je bois. J’suis cardiaque, j’pourrais peut-être jamais te donner des gosses, parce que j’dois être infertile avec toute la merde que je dois prendre.» Tu prends une pause pour la soulever, la remettant sur ses pieds. Tu prends sa main, venant te mettre à genou devant elle. Tu souris doucement, puis tu ouvres l’écrin avant de reprendre sa main. «C’est pas exactement la demande que je voulais faire. Je voulais t’amener sur le toit d’un immeuble avec des roses et un dîner romantique, mais bon… Après tout, les demandes spontanées sont les meilleures à ce qui paraît. Ça fait 10 ans que je te vois dans ma soupe… 8 ans que l’on peut vraiment dire que l’on se tourne autour… On a passé au travers plusieurs épreuves, sans que l’on ait l’étiquette couple… Mais là, à 43 ans, c’est ce que je veux. Que tu sois ma femme. Et que je te sois fidèle, que je sois qu’à toi, sans jamais tenter de déroger de ça...» Tu téclaircis la gorge, prenant un air plus que sérieux. Tu remontais la petite boîte vers Leo. «Eleonore Webb, me ferais-tu plaisir, non l’honneur… De devenir ma femme?» T’as un sourire niais sur la gueule. T’espère qu’elle réponde et vite. Ton genou te fait un peu mal là… T’es vieux et tu assumes. Tu baisses un peu le bras. «Leo… T’as perdu ta langue?» Tu perds graduellement ton sourire. T’aurais aimer qu’elle saute de joie, mais non… C’est le vide, le silence… Et là, tu te sens con.

 
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